vendredi 29 septembre 2017

Les 3 clés pour vaincre les pires épreuves de la vie

 " Les 3 clés pour vaincre
les pires épreuves de la vie " 

 Dr. Jean-Jacques Charbonier​




      Si vous cherchez des solutions pour vaincre vos épreuves, ce livre va vous aider. 


Trois parties. La première, avec le langage simple et facilement compréhensible de l'auteur, vous explique le fonctionnement de la conscience. 
Qui intervient dans vos choix, dans la perception de votre ressenti, dans la manifestation de vos émotions ? Vous ? Votre conscience ? Et où se trouve-t-elle, la mystérieuse ? Dans votre boite crânienne, prisonnière de votre cerveau ? Ou peut-elle aller se promener et revenir ? Disparaît-elle dans l'Infini au moment de la mort ou survit-elle ? La conscience est-elle délocalisée ? L'auteur vous aide à faire connaissance avec votre conscience intuitive et votre conscience analytique.

La deuxième partie interpelle le lecteur  sur le " fonctionnement du bonheur ". 
Pourquoi ne savons-nous pas être heureux ? Qu'est-ce que le bonheur ? Et si nous apprenions à être heureux, propose-t-il ? Faut-il "frôler la mort" pour comprendre le sens de la vie ? Les expérienceurs, eux, savent désormais l'importance de donner du bonheur aux autres, vivre dans l'Amour, partageant " l'amour inconditionnel qu'ils ont connu dans la lumière ". 

La troisième partie, rentre dans le vif du sujet : nos souffrances à la suite des épreuves douloureuses vécues. 
L'auteur identifie les différentes pertes que chacun peut affronter: celle d'un être cher, d'un animal favori, une maladie grave ou une situation de handicap définitif, sa propre mort, la perte affective, celle d'un travail et enfin la ruine

Réflexions, exemples, témoignages, suggestions, recommandations, le Dr. Jean Jacques Charbonier​ ne lésine pas et offre à ses lecteurs les outils nécessaires. 

Alors si vous reconnaissez une de ces épreuves pour les avoirs vécues ou si vous êtes en train de les vivre, je vous recommande cet ouvrage. Ces 3 clés sont à votre disposition.

" Les 3 clés pour vaincre les pires épreuves de la vie " du Dr. Jean-Jacques Charbonier​, ed. Trédaniel


Peut-être n'avez vous pas vu ces deux courtes interviews au dr. Charbonier que je lui fis en Italie, en juin dernier, quand il vint participer à notre congrès sur les NDE. Ce lien vous renvoie à la page de mon Association sur Facebook.




vendredi 8 septembre 2017

Shan des Lain-Ry

de Danielle Goyrbeault-Petrus


Une très belle aventure




Je viens de finir Shan des Lain-Ry de Danielle Gourbeault-Petrus et je dois dire que cela faisait longtemps que j'avais envie de connaître cette auteure. J’avais d'abord été attirée par la très jolie couverture d'un autre livre que je n'ai toujours pas lu « Le Marais des Sauryls». J'ai commencé par celui-ci et je ne le regrette pas.

C'est un ouvrage très riche, avec une quantité infinie de personnages dont il est pratiquement impossible de se rappeler les noms, tous extrêmement compliqués. Ce qui est surprenant, c'est la connaissance d'une époque que l'on finit par considérer absolument réelle, même si elle appartient au domaine du fantastique 

La description des êtres, de leur habillement, de leur armement, de leur façon de vivre, de leurs relations, de leurs hobbies, de leurs émotions, de leurs lieux de vie, des odeurs, de l'environnement, de la nature dans ses détails… pourrait presque apparaître comme une référence anthropologique de peuples disparus ! Sans aucun doute, Danielle Gourbeault-Petrus, historienne de profession me semble-t-il, a fait un travail de recherche notable.

Ses personnages sont attachants, aussi bien dans leur force que dans leurs faiblesses. Elle arrive à nous faire comprendre les motivations de certains personnages négatifs, à leur trouver des excuses pour des comportements à la limite du crime et de la trahison. On est dans du fantastique et pourtant tous ces personnages sont profondément humains, simples et fragiles. Même la magie, utilisée abondamment par les gentils comme par les méchants, a ses limites, celle qui dépend de la nature même des hommes et des femmes en lutte pour le pouvoir et pris dans le vortex de leurs émotions.

L'action est très bien menée, le suspense garanti, les rebondissements nombreux et le talent de son auteure est manifeste dans le maniement de la langue elle-même.

Le seul élément qui m'a profondément gêné, c'est l'usage constant du temps présent pour la narration. Si le temps présent est sans aucun doute extrêmement utile pour renforcer le climat de tension, l'élément de surprise, l'action en elle-même, les temps du passé de la langue française permettent pourtant une plus grande liberté et un enrichissement de l'écriture. Ce n'est naturellement qu'une opinion très personnelle.




 Danielle Gourbeault-Petrus


vendredi 1 septembre 2017

Pauvre Slovène…


Ce n'est pas le premier livre de Cédric Charles Antoine que je lis mais à chaque fois je suis surprise, agréablement surprise. Sa capacité de gérer une intrigue, de ne jamais tomber dans le pathos, de toujours profiter de l’écriture pour offrir, à sa lectrice et à son lecteur, une occasion d'apprendre quelque chose sur l’argument qu'il a choisi comme sujet de son roman, est remarquable.

Cette fois, Il nous plonge dans ce triste conflit qui a mis à feu et à sang les Balkans et ses peuples. Il ajoute un aspect très particulier à cette lamentable histoire de violences : il nous propose de connaître la Slovénie, un peu de son histoire, de sa géographie, de son climat, de sa culture et surtout... de ses gens.

C'est merveilleux et effrayant à la fois. On a l'impression d'être au fond d’un territoire perdu, inconnu, objet de ségrégation, de malédiction... et pourtant derrière l'incompréhension, la peur, les non-dits, le ressentiment, l'apparente fermeture des cœurs on retrouve, encore et toujours, ce besoin d'aimer et d'être aimé.

Je ne parlerai pas des personnages car ce serait risquer de dévoiler une partie de l'histoire et « La Slovène » est une aventure que chacun doit vivre individuellement.

Certainement un peu de nostalgie reste collée à l’âme au moment du grand final, avec de nombreuses interrogations sur les motivations égoïstes qui ont conduit à un tel gâchis. Et c'est là que l'on découvre une fois encore les doutes et la grande humanité de l'auteur. 


Bravo Cédric !